Il est du devoir et de la responsabilité de chacun de prendre en charge sa destinée numérique. En acceptant, sans ne jamais les lire, les conditions d’utilisation des plateformes connectées, les individus donnent volontairement et intentionnellement leur accord pour le traitement et l’analyse de leurs données personnelles par des tiers. Ils devraient, à mon sens, se questionner sur le caractère gratuit des services offerts, sur l’essence de la rentabilité financière des GAFAM et être plus vigilants dans l’espace virtuel au lieu de se laisser distraire et se complaire dans un système qui viole leur vie privée. — Place aux jeunes dans la lutte contre la surveillance